À TROYES PAS D’AUDIENCE, MAIS UNE ASSEMBLÉE GÉNÉRALE : RASSEMBLONS-NOUS CONTRE LA SÉGRÉGATION SCOLAIRE !
- Assemblée générale à 14h au Petit Louvre
- Manifestation à 16h à l’Hôtel de Ville de Troyes
Un même syndicat pour tous les personnels de la maternelle à l’université : la CGT Educ’Action !
Avec la CGT Educ’Action, exigeons :
– l’abandon du choc des savoirs
– la mise en place d’une école émancipatrice pour tou-tes les élèves
– un véritable plan d’urgence pour l’école
– le recrutement massif de personnels titulaires et formés
– une revalorisation immédiate et indiciaire de tous les salaires
– l’abandon de la réforme des lycées pro
– l’abandon du SNU
– l’abandon de l’expérimentation uniforme
Nos organisations FSU, UNSA, CFDT-SGEN, CGT et SUD éducation appellent à faire du 8 mars une grande journée de lutte pour les droits des femmes, y compris dans le secteur de l’éducation.
Nos organisations revendiquent :
● l’égalité salariale entre les hommes et les femmes et la réduction du temps de travail pour permettre l’articulation vie privée/vie publique…
Manifestation le 8 mars 2024 :
14h Place Jean Jaurès, à Troyes
Demande à transmettre à votre supérieur hiérarchique avant le 11 mars 2024. Demandez votre convocation à : reims@cgteduc.fr
Cette convocation vaut autorisation d’absence sans récupération ni perte de salaire, conformément au décret n°84-474 du 15 juin 1984.
Parmi les motifs de colère des personnels que nous représentons, les mesures du « Choc des savoirs » suscitent une très forte opposition de nos collègues.
Cela s’est manifesté dans les mobilisations des dernières semaines (grèves, journées d’actions, rassemblements) mais aussi à travers la pétition intersyndicale qui a déjà recueilli à ce jour plus de 45000 signatures.
Afin de construire la mobilisation, la Educ’Action 10 vous propose une Assemblée Générale des personnels grévistes :
le Mardi 6 février 2024, à la Maison des Syndicats de Troyes, 1er RAM à 10h
Mercredi 29 novembre, la commission spécialisée lycée du conseil supérieur de l’Éducation examinait le projet de réforme des lycées professionnels.
Face aux imprécisions et l’absence de réponse de l’administration sur une réforme dont l’impact sera majeur sur l’avenir des LP, de leurs élèves et personnels, les organisations syndicales, présentes à cette CSL, ont exigé d’être reçues par le cabinet du ministre Gabriel Attal en intersyndicale et n’ont obtenu aucune réponse à cette demande.
Ce même jour, à 18h30, la CGT Éduc’action devait être reçue par Gabriel Attal et Carole Grandjean au sujet de ce projet de réforme. Elle a donc demandé que cette audience, prévue à l’agenda des deux ministres, se tienne avec l’ensemble de l’intersyndicale.
Le ministère vient de présenter ce mardi 14 décembre la proposition de répartition 2023 des moyens de l’enseigne-ment scolaire. Cette répartition concerne l’ensemble des personnels, les répartitions académiques de postes ou les « priorités » ministérielles.
La CGT Éduc’action reconnait que c’est audacieux de la part du ministère de présenter un tel budget qui fait la part belle aux nombreuses suppressions de postes d’enseignement (-1117 dans le 1er degré et -481 dans le 2nd degré) alors que les conditions d’encadrement des élèves depuis la rentrée sont extrêmement mauvaises et qu’elles se sont à nou-veau dégradées ces dernières semaines avec les différentes vagues épidémiques.
À la rentrée, le ministre qualifiait le collège « d’homme malade du système éducat f ». Après n’avoir rien proposé sur cette question pendant des mois, voilà que lors de ses voeux, Pap N’Diaye avance deux propositions qui sentent bon le réchauffé… Pire, elles ne résoudront en rien les problèmes de fond et ne feront qu’accroître les difficultés organisationnelles pour les person-nels tout en étant des mesures cosmétiques pour les élèves : plus de Devoirs faits et des profes-seur·es des écoles au collège…